En suivant le guide, j’ai été en mesure de faire tourner une version de test de Bonfire sur mon ordinateur (ce dernier requiert tout de même PostgreSQL, PostGIS, et MeiliSearch, le projet en lui même étant écrit en Elixir). Quelques notes au passage : Bonfire existe en flavour, c’est à dire en différentes déclinaisons. Actuellement, il y a les flavours officiels classic et cooperation - celle que je teste. Il y a l’air d’en avoir des gérées par des tiers également, comme Reflow ou Haha academy sans que je comprenne vraiment qui est derrière ça ni quelles différences ça fait.
Bref, une fois tout fonctionnel, j’ouvre l’URL dans mon navigateur et me créer un compte. Si vous utilisez Twitter, Mastodon, Pleroma ou autre outil de micro-blogging, vous ne serez pas dépaysé-e. Je commence par configurer mon profil :
La présentation de l’instance peut aussi être configurée, ici aux couleurs de Deuxfleurs :
Enfin, il y a plusieurs types de contenus publiables, je commence par le “Post”, soit une sorte de tweet :
Je m’essaye à un des ~6 autres contenus, la “tâche”. L’intégration semble bien moins bonne, de nombreux composants ne répondent pas :
En l’état, Bonfire ressemble plus à un outil de micro-blogging que de gestion de communautés. Je n’ai pas pu tester la fédération ni son fonctionnement en production (avec plusieurs usager-es, sur le temps, etc.), mais si on se limite aux fonctionnalités de micro-blogging que j’ai testées, ça marche plutôt bien ! Ne le faites pas tourner en production quand même, surtout si vous n’êtes pas prêt à patcher le logiciel vous-mêmes !
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